La magneto-géometrie par Malcom Rae

Une pensée se comporte comme un champ
La pensée est une facette du magnétisme
La pensée est une proportion ou un complexe de proportion.

L’instrument de radionique est un simple simulateur magneto-géométrique, où l’on peut entrer une carte codée.

Cet instrument fonctionne sur une base magnétique, et ce sont des aimants qui, par leur agencement particulier au sein d’un circuit de type électronique, vont lire les ondes de formes des codes géométriques et les retranscrire sous forme d’ondes à l’intérieur d’un habitacle faisant partie de l’instrument.

Par exemple, la simulation magnéto-géométrique d’un remède homéopathique, fleur de Bach, etc.

L’homéopathie

Pour les uns un traitement miraculeux, pour les autres du charlatanisme.
Pourtant, il y a bien longtemps qu’elle a fait son apparition.
470-400 av. J.-C. Hippocrate (Grèce) conçoit les deux méthodes thérapeutiques des semblables et des contraires.
1493-1542, Paracelse (Suisse) Theophrastus Bombastus von Hohenheiml établit les fondements de la médecine moderne et pressent les principes essentiels de l’homéopathie.
1755-1843 Samuel Hahnemann (Allemagne) crée l’homéopathie moderne.

Le 10 avril 1755 à Meissen, en Saxe, Christian Friedrich Samuel Hahnemann.
Quelques années plus tard, ce fils de peintre sur porcelaine n’a qu’une envie, devenir médecin. Son maître, le docteur Muller, a l’intuition de son génie et l’aide à poursuivre des études médicales. Il ne cesse depuis son doctorat d’étudier, d’approfondir les effets des drogues qu’il prescrit à ses malades. Son nom se répand au-delà de sa province, si bien que lui est offert, en 1821, le poste de médecin de la cour ducale d’Anhalt-Köthen, assorti à la protection du duc.
Ayant lu l’action du quinquina dans l’œuvre du médecin écossais William Cullen (1712-1790), il veut aller au fond de la question.
En 1790, l’emploi du quinquina est controversé. Il décide donc d’en expérimenter l’action sur lui-même. Il en absorbe durant plusieurs jours consécutifs de petites doses et il observe que le quinquina, qui fait diminuer la fièvre, provoque en revanche chez le sujet sain, les apparences de la fièvre.
Il renouvelle cette expérience et l’étend à la belladone, à la digitale et au mercure.
La durée de ses essais se prolonge chaque fois pendant plusieurs jours au mépris de sa santé. La lumière se fait peu à peu dans son esprit.
Conscient qu’il tient une découverte, il l’expérimente sur d’autres personnes, avec des premiers résultats positifs.

Ces applications contredisent les académies, les facultés de médecine et de pharmacie.
La découverte de Hahnemann est rejetée, ses confrères le dénigrent et lui intentent un procès pour charlatanisme.
Il poursuit ses recherches et, en 1805, il publie l’étude de vingt-cinq médicaments. En 1810, son traité L’Organon de l’art de guérir,­ les principes de base de l’homéopathie ­ sort de presse. Il y aura 6 ré-éditions au cours de sa longue vie !
Les attaques des médecins et des pharmaciens ne cesseront plus.
Mais la vérité est parlante. Des milliers de guérisons obtenues grâce à la dose infinitésimale, à la loi de similitude, à l’identification du malade et du remède.
En 1821, il publie la Matière médicale pure qu’il a mis dix ans à rédiger ; c’est en 1828 qu’il publie son œuvre Doctrine et traitement homéopatique des maladies chroniques.

La nouvelle thérapeutique se répandit rapidement dans toute l’Europe occidentale, en Allemagne, en Autriche, en Suisse, en Italie, en France, et vers les colonies de ces différents Etats.
Dès 1832, Pierre Dufresne crée à Genève une revue périodique, La Bibliothèque homéopathique, en collaboration avec plusieurs disciples d’Hahnemann.
A Paris en 1833, sous l’impulsion de Curie et Dimon, est publié le journal de Médecine homéopathique. Ensuite la Société homéopathique de Parisest fondée.

La loi de similitude avait été exprimée sous une autre forme, trois siècles avant Jésus-Christ, par Hippocrate : « La maladie, écrivait-il, est causée par les semblables et c’est par les semblables que l’on administre au malade que celui-ci recouvre la santé ». Et d’autre part, écrivait encore Hippocrate, « la fièvre est chassée par ce qui la produit et elle est produite par ce qui la chasse ».

Similia, similibus, curantur, les semblables se guérissent par les semblables.
Autrement dit, selon une autre formule de la loi de similitude, les remèdes, à doses infinitésimales, administrés à un malade sont les mêmes substances qui, à doses pondérales déterminent chez un sujet bien-portant des troubles qui affectionnent le même organe, les mêmes tissus, les mêmes cellules et ainsi reproduiront expérimentalement la même affection que celle à traiter.

L’homéopathie ne donne ni accoutumance, ni effets secondaires.
Des milliers de remèdes homéopathiques sont actuellement proposés.
La difficulté réside dans le fait que l’homéopathie ne soigne pas une maladie mais bien un malade. Le remède est toujours adapté en fonction du malade.    

L’homéopathie suscite un intérêt de plus en plus grand de la part de tous les pays, notamment les pays scandinaves, la Pologne, la Russie, le Japon, mais également dans presque tous les pays européens et outre-mer, et particulièrement en Inde ou elle est pratiquée par une grande quantité de médecins.
Des milliers d’homéopathes exercent leur métier en Amérique latine, cela après avoir suivi une des deux écoles qui peuvent compter jusqu’à 800 élèves chacune.

Malheureusement, en Europe, en raison du durcissement des lois sur les médicaments, l’homéopathie est en grande difficulté.

Des recommandations concernant la prise de l’homéopathie sont nécessaires.

Ni les granules, ni les globules et d’une façon générale aucun remède homéopathique ne doivent être touchés avec les doigts ou versés dans une cuillère.

Il faut utiliser le couvercle du tube de remède et compter visuellement le nombre de granules.

Il faut prendre soin de conserver le tube à l’abri de la lumière, de l’humidité, des pollutions électromagnétiques également. Il est nécessaire d’éloigner les remèdes des produits chimiques. Il ne faut pas transvaser les remèdes dans un autre tube ou dans un autre récipient.

Il est très important de ne pas mettre le tube des granules homéopathiques près d’une source électrique comme une lampe, une télévision ou autre.

Ne pas poser le tube de remède à côté d’un téléphone portable.

Chacun devrait prendre les précautions d’usage et disposer d’une petite trousse d’urgence familiale, composée de remèdes homéopathiques courants.

Secrets, conseils et remèdes naturels de l’herboriste, pages 135/139